
Par Bernadette Vivuya
On rêve ainsi reconstruire la région des grands-lacs en rapprochant et en reformant la jeunesse.


« Je suis de la RDC. Quand je me retrouve entre mes amis Rwandais et Burundais, je me sens qu’on est tous les mêmes. Turi bamwe, comme on le dit en kinyarwanda », Patience Bwakya.
« C’est l’amour entre nous qui déterminera la paix dans notre région. Et donc, si nous nous retrouvons ensemble dans ce chantier, c’est une occasion pour nous de renforcer ces liens qui nous unis, ces liens qui nous donnent encore cette envie de lire en l’autre, mon frère, ma sœur ». Lui, c’est Nobel Nitunga.
L’accent est porté sur la jeunesse dans ce projet « Jeunes volontaires pour la reconstruction des Grands-lacs » car celle-ci constitue les potentiels de développement et de changement pour toute une destinée da la région. D’autres l’appellent ainsi « l’avenir d’un pays ».
Malheureusement, selon plusieurs intervenants, cette couche est la plus manipulée par des groupes armés pour tuer et violer. Et pourtant, c’est à travers elle qu’on arrivera à changer cette routine pour en fin restaurer la paix et le développement durable.

« Le Rwanda, la RDC et le Burundi comme le JiKO sont condamnés à vivre l’un avec l’autre. Ils soutiennent ainsi la marmite qui est les Grands-lacs. Nous existons pour un même dessein que nous devons accomplir ensemble.
Notre seul moyen d’y arriver c’est notre jeunesse; nous devons lui apprendre à être autonome pour espérer à un avenir plus radieux.» a lancé, satisfait, le secrétaire de la CEPGL.
Le coup d’envoi a été donné, les activités se poursuivent jusqu’au 26 Mars 2015.
Longue vie à cette belle démarche porteuse de paix et de tolérance.
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